Dernier album en date de Dimmu Borgir avec un line-up qui n'a pratiquement plus rien à voir avec celui de ses débuts avec Shagrath, Silenoz (les deux survivants), Mustis, Galder, Nick Barker, Vortex et 46 musiciens d'un orchestre philarmonique.
Si vous n'avez pas aimé des pistes comme Puritania sur le précédent album passez votre chemin car DCA reprend le côté industriel et l'utilisation de samples.
Pour les compos, ça reste du Dimmu avec le retour de quelques pistes en norvègien (ils refont tous du norvègien, à croire que c'est le retour à la mode de chanter dans sa langue d'origine) mais l'album semble trop encadré, trop carré, trop trop.... Bref cette accumulation de "trop" font de cet album, un album sans réelle âme, les compos sont bonnes et dans le nouveau style Dimmu mais on reste bien loin de la perfection atteinte sur EDT. On ne ressent plus autant d'émotions que sur les anciens albums, je pense surtout à EDT et à Stormblast qui m'ont ravi tout les deux par leurs ambiances.
Un album qui s'écoute mais à la durée de vie bien limitée devant les autres productions du groupe.
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